Françoise Hardy…
Elle chante la mélancolie mieux que personne.
J’ai souvent eu envie de lui dire « mais quitte-le donc », même si de ses peines de cœur sont nées les plus belles balades sur l’amour impossible.
Elle n’a pas d’âge.
C’est une silhouette, un style, un modèle.
Elle appuie parfois là où ça fait mal mais bizarrement ça fait du bien…
C’est tout simplement la Queen, comme dirait ma fille.
Si je pouvais mettre sa poésie en flacon, j’imagine un parfum dans lequel on s’enroule les jours où ça ne va pas.
Un qui s’apprivoise.
Une odeur de musc frais, un peu sucré.
Comme un lait végétal.
Comme une sève qui fait battre le cœur, qui redonne vie, doucement.
Ça me fait penser au fabuleux « Parisian Musc » de @matierepremiereparfums
Intime et audacieux.
Avec des matières premières nobles et bien choisies, justes, sans excès.
Un jus mixte qui fait la part belle à la graine d’ambrette du Pérou pour son côté musqué naturel, à la note sèche et boisée du cèdre de Virginie et à la touche verte et crémeuse de la figue.
Un bijou de simplicité…auquel on ne résiste sous aucun prétexte…un message personnel ❤️